Quand génétique rime avec longévité
Mise à jour le samedi 26 octobre 2002, 20 h 47 .
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La méthode, expérimentée avec un ver Caenorhabditis elegans d'un millimètre de long, a permis de désactiver un groupe de gènes (daf-2 et daf-16) à différentes étapes de vie de l'animal, pour étudier leurs effets sur la longévité. D'autres travaux avaient démontré que la désactivation partielle du gène daf-2 permettait de doubler la longévité du ver. Le gène encode un récepteur d'insuline ainsi qu'une hormone facteur de croissance. Ce gène affecte également la reproduction. Mais la nouvelle recherche montre que le gène agit de différentes façons à différents stades de la vie pour contrôler la reproduction ou la longévité, ce qui a permis aux scientifiques de découpler ces deux fonctions.
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